Chronique

BULLETIN D’HISTOIRE DE BELGIQUE 1961-62

par J. Dhondt, professeur à V Université de Gond ; W. Brûlez, chargé de recherches du Fonds National de la Recherche Scientifique ; J. Craey-beckx, chargé de cours associé à V Université de Gand ; P. Deprez, docteur en philosophie et lettres ; O. Luypaert-Decombele, aspirante du Fonds National de la Recherche Scientifique ; W. Prevenier, assistant à la Faculté de Philosophie et Lettres de V Université de Gand ; St. Scholliers, chargé de recherches du F. N. R. S. ; D. Van der Veeghde, conservateur aux Archives Générales du Royaume ; R. van Eenoo, assistant à la Faculté de Philosophie et Lettres de V Université de Gand ; J. Verhelst, assistant à la Faculté de Philosophie et Lettres ; A. Verhulst, chargé de cours à la Faculté de Philosophie et Lettres ; U. Vermeulen, assistant à la Faculté de Philosophie et Lettres de V Uni¬ versité de Gand.

Avant le Moyen-Age

On a mentionné déjà dans la précédente «Chronique » la publi¬ cation d’une nouvelle revue consacrée à l’archéologie au Benelux : «Helinium » ; nous avons aussi cité à cette occasion la belle biblio¬ graphie que contient cette revue. Dans le tome II — 1962 — , on trouvera la suite de cette bibliographie, celle des ouvrages parus en 1959-60 (pp. 122-160). On devine, sans peine, quel instrument de travail capital cela représente. Il me faut pourtant exprimer ici mon étonnement devant le mode de classement adopté cette fois : le classement est exclusivement alphabétique dans l’ordre des auteurs. A la fin, on trouve une table systé¬ matique où les travaux recensés sont indiqués par leur numéro d’ordre. On voit bien l’avantage de ce système : il permet de mentionner un ouvrage donné sous plusieurs rubriques, puisqu’il est facile de répéter un numéro d’ordre à plusieurs reprises. J’avoue pourtant que lorsque je considère les 360 numéros qui figurent sous la rubrique «époque romaine», je n’éprouve aucune hâte à me reporter 360 fois à l’une des pages précédentes. Je sais bien que le classement des titres par rubriques — auquel les auteurs ont voulu échapper ici — , est toujours incertain et décevant, mais du moins il est humainement possible de se reporter aux deux ou trois rubriques qui intéressent le lecteur moyen. Aucun lecteur, je crois, ne va se reporter au 360 renvois de la table pour l’époque gallo-romaine. Il aura plus vite fait de parcourir toute la bibliographie, et cela lui sera peut-être très profitable, mais on avait considéré jusqu’à présent qu’une bibliographie mal répartie en rubriques valait mieux qu’une bibliographie sans aucune répartition. A toutes fins pratiques, les auteurs de la présente bibliographie