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Répertoire des musiques sahariennes. Bilan des travaux .

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RÉPERTOIRE DES MUSIQUES SAHARIENNES BILAN DES TRAVAUX

par P. AUGIER

La section d'ethnomusicologie du Centre d? Recherches Anthropologiques, Préhistoriques et Ethnographiques d'Alger (C.R.A.P.E.) n'a commencé à fonctionner de façon régulière qu'en octobre 1967, faute d'être pourvue avant cette date d'un chercheur spécialisé employé à temps complet. En outre, les impératifs budgétaires d'une part — imposant une certaine progressivité dans son équipement en matériel d'enregistrement sonore — et l'étendue considérable du territoire algérien d'autre part — astreignant le musicologue à de longues périodes de présence sur le terrain — ont fait qu'elle n'a atteint vraiment son "régime de croisière" qu'en 1970.

Quelques chiffres ne seront peut-être pas superflus pour éclairer ces considérations. Avant 1967, des donations aussi bien que diverses missions ethnographiques avaient permis de constituer une première collection de documents sonores. La rédaction de leur catalogue devait permettre d'y dénombrer environ 450 phonogrammes, certains se révélant d'ailleurs difficilement exploitables en raison des incertitudes subsistant sur leurs origines. Une première mission d'ethnomusicologie à Tlemcen, foyer très actif de musique andalouse, portait ce nombre à un peu plus de 500 (1) dès la fin de l'année 1967.

En octobre 1971, le catalogue se compose de près de 1900 numéros, dont plus de 900 proviennent des collectes effectuées en 1970 et 1971.

En même temps que s'accélérait la collecte des documents sonores, leur qualité technique s'améliorait par le recours à un matériel d'enregistrement professionnel, cependant qu'un système de fiches d'enquête était mis au point, en vue de systématiser la présentation de l'information relative à la musique elle-même, à ses interprètes, à son origine géographique, à sa fonction dans le contexte socio-culturel.

Signalons par ailleurs que, pour obtenir un maximum de sécurité dans la conservation des documents autant que pour la commodité de leur classification, les bandes magnétiques enregistrées sur le terrain font l'objet d'un repiquage en laboratoire. Un montage effectué sur les copies permet, d'une part, d'éliminer les

(1) Ces 500 pièces ont fait l'objet d'un bref article : Le catalogue de phonogrammes de la section d'ethnomusicologie du CJI.A.P.E. LYBICA, Anthropologie, Préhistoire, Ethnographie, XVI - 1968 - pp. 257-260.

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