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À propos d'un cinquantenaire

[note critique]

L'histoire et l'œuvre de l'École française de Rome, 1931

Année 1932 9 pp. 416-421
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L.-A. CONSTANS

A PROPOS D'UN CINQUANTENAIRE

L'histoire et l'œuvre de l'École française de Rome. Un vol. in-8° de

358 pages, avec 12 planches hors texte, Paris, de Boccard, 1981.

La publication de ce volume a coïncidé avec la célébration du cinquantenaire de l'École de Rome. Célébration quelque peu retardée, puisque c'est en 1875 que cet établissement scientifique a reçu son statut définitif. Les retards sùbis par la préparation du volume commémoratif ont été, croyons-nous, la cause principale d'ajournements successifs qui ont pu faire craindre, un moment, qu'il fallût renoncer à l'entreprise. On n'en doit que plus de reconnaissance à ceux dont le dévouement tenace a su triompher de toutes les difficultés ; bien qu'ils aient tenu à conserver , un trop modeste anonymat, il nous sera permis, j'espère, de dire que l'initiative de la publication, le groupement des collaborateurs, la réunion des manuscrits, l'agencement du volume, le choix de l'illustration et la correction des épreuves sont dûs, principalement, à MM. Alfred Merlin, Charles Samaran et Jacques Zeiller. On n'aura garde non plus d'oublier ce que le succès de l'entreprise doit à l'actif patronage du directeur de l'École, M. Émile Mâle, et au désintéressement de l'éditeur, M. de Boccard.

Vingt-huit anciens Farnésiens ont collaboré à ce livre. Il s'ouvre par quelques pages aussi vivantes que documentées de M. Georges Goyau sur «Les origines », et s'achève par une magistrale «Conclusion » de M. Émile Mâle. Grâce à un plan judicieux, l'unité du livre, malgré le nombre des auteurs et la diversité de leurs tempéraments, demeure parfaite. Leurs contributions sont harmonieusement groupées en dix chapitres qui s'ordonnent sous deux grandes rubriques : «L'histoire », dont M. Goyau et le regretté Jules Martha ont écrit le premier des quatre chapitres, et «L'œuvre », qui n'en compte pas moins de six ; le quatrième, sur «Les études médiévales », a été écrit peu de temps avant sa mort par François Delaborde : c'est, je crois, un des premiers manuscrits que les organisateurs aient reçu. Ainsi, deux des auteurs du livre du Cinquantenaire ont déjà été enlevés à la grande famille farné-sienne ; il y a dans cette constatation douloureuse quelque chose qui souligne l'utilité d'un ouvrage de ce genre: en rendant sensible la communauté de sentiment et la volonté d'union des générations

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