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HORIZONS DE LA GRAMMAIRE ALEXANDRINE
PRESENTATION
Jean LALLOT
UMR CNRS 7597
La REVUE Histoire Épistémologie Langage fait régulièrement place, dans ses livraisons successives, à des études sur la tradition grammaticale grecque : outre les références signalées dans les Tables analytiques, Hors-Série n° 1 (1996), voir XX/1 (1998), p. 164-165, XX/2 (1998), p. 5-18, 63-80 (F. Ildefonse), p. 181-185 (Id.), XXI/1 (1999), p. 119-132 (F. Lo Piparo), XXI / 2 (1999), p. 154-156 l. Cependant, il faut remonter à 1985 pour trouver dans HEL (VLÎ/1) un ensemble thématique consacré aux grammairiens grecs. Après quinze années, on pouvait songer à renouer le fil de cette tradition historiographique.
Chargé par le Comité de rédaction de la revue de mettre la chose en œuvre, j'ai procédé de la façon suivante. J'ai adressé à une vingtaine de chercheurs de diverses nationalités, connus par des publications significatives dans le domaine de la grammaire grecque antique, une invitation à proposer pour la revue Histoire Epistémologie Langage un article sur un sujet de leur
Dans la mesure où l'écriture, comme production de lettres, grammata, est en elle- même une activité éminemment « grammaticale », on pourra ajouter à cette liste l'article de Histoire Épistémologie Langage XIX/1, p. 177-186, dans lequel H. Brekle propose un principe explicatif de l'évolution de la forme des lettres dans le passage de l'écriture phénicienne à l'écriture grecque.
Histoire Épistémologie Langage 22/1(2000) : 05-09 © SHESL, PUV