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Tentative de comparaison entre la limite supérieure du Campanien stratotypique et la limite inférieure du Maastrichtien stratotypique

[article]

Année 1983 10-3-4 pp. 73-79
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Géologie Méditerranéenne Tome X, n° 3-4, 1983, pp. 73 à 79

Tentative de comparaison entre la limite supérieure du Campanien stratotypique et la limite inférieure du Maastrichtien stratotypique

par M. NEUMANN* et F. ROBASZYNSKI**

RESUME

ABSTRACT

Introduction

Charentes

I. Définition du campanien et interpretations

(*) Université P. et M. Curie, Laboratoire de Micropaléontolo¬ gie, T15-4èE, 4, place Jussieu, 75230 Paris Cedex 05, France.

(**) Faculté Polytechnique, Laboratoire de Géologie, 9, rue de Houdain, 7000 Mons, Belgique.

Des travaux analytiques nouveaux sur la distribu¬ tion verticale de plusieurs groupes de microfossiles (foraminifères, nannoplancton, dinoflagellés, ostra-codes) ainsi que l'étude critique des récoltes macropa-léontologiques anciennes permettent maintenant de mieux cerner le contenu paléontologique du Campa¬ nien stratotypique (voir NEUMANN et collabora¬ teurs, ce Colloque). Par ailleurs, les études menées pour mieux appréhender la limite Campanien-Maastrichtien dans la région-type du Maastrichtien ont tenu compte de l'extension des mêmes groupes de microfossiles ainsi que de plusieurs espèces de macro¬ fossiles index appartenant au domaine boréal (voir ROBASZYNSKI et collaborateurs, ce Colloque).

En 1857, COQUAND a désigné sous le terme Cam¬ panien l'ensemble des craies à Ostrea vesicularis qu'il avait décrites en 1856. En 1858, il en a détaillé l'éten¬ due, à savoir, la Champagne charentaise, les environs d'Aubeterre, le village d'Archiac, les falaises de la Gironde depuis Mortagne jusqu'à Roy an, sans pour autant donner la superposition. Il a, de plus, créé un étage Dordonien pour des formations à rudistes (Hip -purites radiosus, Lapeirousia jouanettî) couronnant la série campanienne dans les environs d'Aubeterre et à Lamérac. Par la suite, des confusions ont été intro¬ duites à propos de ce Dordonien. D'abord ARNAUD (1877, 1892) qui, tout en conservant les étages de COQUAND, les a modifiés en réduisant le Campa¬ nien et en faisant débuter le Dordonien, assimilé au Maastrichtien, à l'apparition d'Orbitoides media.

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