Plan

Chargement...

Figures

Chargement...
Couverture fascicule

Les restes carpologiques carbonisés du site mésolithique des Baraquettes IV (Velzic, Cantal)

[article]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 457

Laurent BOUBY et Frédéric SURMELY

Les restes carpologiques carbonisés du site mésolithique des Baraquettes IV (Velzic, Cantal)

La présente note constitue un rectificatif au mémoire XXXII de la Société préhistorique française, consacré au site mésolithique des Baraquettes, dans lequel un résumé sur les restes carpologiques a été substitué par erreur au texte complet.

Des recherches carpologiques ont été entreprises sur le site mésolithique des Baraquettes IV dans le but principal de recueillir des informations sur les plantes utilisées par les occupants du site, en particulier sur les plantes alimentaires. La paléoethnobotanique représente un domaine d'étude privilégié pour le carpo- logue, avant tout en raison de la nature des restes étudiés qui, étant principalement constitués de graines et de fruits, constituent bien souvent des produits directement consommables. La convergence thématique

est par ailleurs favorisée par le biais taphonomique existant sur les sites de milieu sec où, sauf cas exceptionnels, seuls les restes végétaux carbonisés sont conservés. La carbonisation étant généralement liée aux activités humaines, les éléments conservés témoignent fréquemment de produits végétaux manipulés par l'homme. Rappelons toutefois que la conservation par carbonisation entraîne une sélection des éléments végétaux les plus résistants (bois, semences en particulier) ; les organes ou tissus les plus fragiles (racines, feuilles, tiges par exemple) sont rarement documentés. Il est en outre bien évident que les éléments qui n'ont pas subi l'action du feu sont irrémédiablement détruits par les agents responsables de la dégradation de la matière organique dans le sol.

Bulletin de la Société préhistorique française

2004, tome 101, n° 3, p. 457-462

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw