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L'Organisation de Coopération et de Développement Economiques et l'évolution récente de ses moyens d'action

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L'ORGANISATION DE COOPÉRATION ET DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES

ET L'ÉVOLUTION RÉCENTE DE SES MOYENS D'ACTION

Gilbert GUILLAUME

I. Du Plan Marshall à l'OCDE

La situation économique de l'Europe au lendemain de la seconde guerre mondiale et l'aide offerte par les Etats-Unis pour la reconstruction du continent, au titre du plan Marshall, avaient incité la France et le Royaume-Uni à prendre une initiative qui devait aboutir à la création de l'Organisation Européenne de Coopération Economique (OECE) par les Gouvernements de 16 pays d'Europe occidentale, à savoir l'Autriche, la Belgique, le Danemark, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Islande, l'Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse, la Turquie et les Commandants en chef des zones d'occupation en Allemagne de la France, du Royaume-Uni et des Etats-Unis d'Amérique (Convention de Coopération Economique Européenne en date du 16 avril 1948).

L'OECE visait à développer une étroite coopération économique entre ses Membres, qui s'étaient assigné la tâche d'établir et d'exécuter un programme commun de relèvement. Pour atteindre ce but, les Gouvernements intéressés affirmaient dans le préambule de la Convention leur détermination d'augmenter leur production, de développer et de moderniser leur équipement industriel et agricole, d'accroître leurs échanges, de réduire progressivement les entraves à leur commerce mutuel, de favoriser le plein emploi de la main-d'œuvre, de restaurer ou de maintenir la stabilité de leurs économies ainsi que la confiance dans leurs devises nationales.

(*) Gilbert Guillaume, Maître des requêtes au Conseil d'Etat, était à l'époque de cette étude Directeur des affaires juridiques de l'OCDE. Les idées exprimées dans cet article n'engagent ni l'OCDE, ni les autorités françaises.

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