1. Sous la direction de Frantz Grenet (C.N.R.S.) du côté français et de Mukhammadjon Isamiddinov (Institut d'Archéologie de Samarkand) du côté ouzbek. Nous tenons à remercier ici Mmes B. Lyonnet, V. Schiltz, MM. P. Bernard, O. Bopearachchi, F. Grenet, G. Lecuyot, E. de la Vaissière pour leur aide et leurs conseils.

2. Site exploré en 1996 et 1997 par Sh. Rakhmanov et Cl. Rapin, avec la collaboration de M. Khasanov et, pour le relevé topographique, Chr. Meyer. Le problème de la frontière entre la Bactriane et la Sogdiane a été repris dans des études de géographie historique récentes à propos de l'expédition d'Alexandre et de la genèse de la carte de Ptolémée, qui soutiennent les anciennes hypothèses selon lesquelles l'Oxus et le Darya-i Pandj constituaient la frontière administrative entre la Bactriane et la Sogdiane, même si les deux rives de l'Oxus sont culturellement unies : F. Grenet, Cl. Rapin, « Alexander, Aï Khanum, Termez : Remarks on the Spring Campaign of 328 », dans Alexander's Legagyin the East. Studies in Honor of Paul Bernard, O. Bopearachchi, C. A. Bromberg et F. Grenet éd., Bulletin of 'the Asia Institute 12, 1998 (2001), p. 79-89 ; Cl. Rapin, « L'incompréhensible Asie centrale de la carte de Ptolémée. Propositions pour un décodage », ibid. , p. 201-225. La « Bactriane septentrionale » des publications de l'époque soviétique correspond donc, sur le plan administratif antique, à la Sogdiane sud-orientale. Le terme de « moyen Oxus » correspond au cours de I'Amou-darya entre Takht-i Sangin et Kilif (ou, ici, Babashov). Le haut Oxus est interprété ici comme étant le Wakhsh jusqu'à Takht-i Sangin, alors que le Darya-i Pandj est l'Ochus des Anciens.

3. Site exploré sous la conduite de M. Isamiddinov et Cl. Rapin, avec la collaboration de M. Khasanov, A. Gricina et A. Rychtecky-Riond.