Conclusion
Il ne convient pas d'exagérer les inconvénients du pouvoir absorbant des sols à l'égard des phosphates. La présente étude ne résout pas la question de savoir si une fraction des phosphates solubles incorporés dans le sol peut y former des composés complètement et définitivement inertes. Mais elle montre que cette fraction, si elle n'est pas nulle, est assez petite, du moins dans les sols qui ne donnent pas lieu à une inactivation des phosphates par vieillissement.
References
Dean, A., An attempted fractionation of the soil phosphorus, J. Agr. Sci.,28, 234–246 (1938).
Demolon, A. et Barbier, G., Contribution à l'étude de l'évolution des phosphates solubles dans les sols minéraux. Ann. Agron.,56, 329–363 (1930).
Barbier, G., Chabannes, J. et Miallet, P., Absorption des ions phosphoriques à la surface des colloïdes argileux par l'intermédiaire des alcalinoterreux. Ann. Agron.16, n.s., 7–34 (1946).
Gericke, S., Untersuchungen über die Umsetzungen zwischen Phosphorsäure und Kalk im Boden. Bodenk. u. Pflanzenernähr.32, 171 (1943).
Scarseth, G. D. and Tidmore, J. W., The fixation of phosphates by clay soils. J. Am. Soc. Agron.26, 152–162 (1934).
Author information
Authors and Affiliations
Rights and permissions
About this article
Cite this article
Barbier, G., Chabannes, J. & Marquis, A. Utilisation des engrais phosphatés par les plantes, après leur absorption dans le sol. Plant Soil 1, 11–17 (1948). https://doi.org/10.1007/BF02080604
Received:
Issue Date:
DOI: https://doi.org/10.1007/BF02080604