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Le temps de réaction verbale : II. Réponses spécifiques et catégorielles

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Année 1965 65-1 pp. 27-32
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Laboratoire de Psychologie Expérimentale et Comparée de la Sorbonne

LE TEMPS DE RÉACTION VERBALE II. — RÉPONSES SPÉCIFIQUES ET CATÉGORIELLES

par P. Fraisse, L. Lanati, J. Régnier et M. Wahl

A un stimulus, on peut donner des réponses verbales à deux niveaux : des réponses spécifiques et des réponses catégorielles, dites aussi surordonnées.

La situation se présente d'une manière différente selon que le stimulus est un mot ou un objet. Dans le premier cas, si le stimulus est par exemple le mot rose, la réponse spécifique consiste à lire le mot, la réponse catégorielle la plus simple est « fleur ». Dans le second cas, le stimulus est une rose (ou l'image d'une rose), la réponse spécifique consiste à dénommer le stimulus, la réponse catégorielle la plus simple est aussi « fleur. »

Dans une première série de recherches (Fraisse, 1964), nous avons trouvé que la réponse lecture était plus rapide que la réponse dénomination quand il y a plusieurs stimuli, c'est-à- dire quand il y a incertitude.

Qu'en sera-t-il quand il s'agit d'associer au stimulus une réponse catégorielle et non plus une réponse spécifique.

Ce problème, à notre connaissance, n'a pas été abordé en distinguant stimuli-mots et stimuli-objets. Ce type de recherche a été assez négligé depuis les remarquables études de J. McK. Cattell (1887). Mais cet auteur n'avait pas envisagé ce problème particulier. Il avait cependant montré que les temps de réaction dite « associative » étaient plus lents que les temps de réaction simple. Woodworth et Wells (1911) ont précisément mesuré le temps nécessaire pour donner une réponse surordonnée à des noms différents. Ils ont trouvé que ce temps était en moyenne de 1,54 s. Remarquons qu'il s'agit du temps moyen de réaction

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