Couverture fascicule

Les rapports entre la critique italienne et la littérature française de la Renaissance dans ces dix dernières années (1976-1986)

[article]

Année 1987 24 pp. 5-24
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 5

LES RAPPORTS ENTRE LA CRITIQUE ITALIENNE ET LA LITTERATURE FRANÇAISE DE LA RENAISSANCE DANS CES DIX DERNIERES ANNÉES (1976 - 1986)

II est évident qu'une analyse approfondie de ces rapports demanderait beaucoup de temps. Etant donné le nombre assez élevé des récentes contributions italiennes à l'étude de la Renaissance française dans ses différents aspects littéraires, je ne me propose, ici, que de faire un panorama, d'offrir un aperçu sur cette production critique. J'ai donc été obligé de faire un choix parmi tous les ouvrages italiens qui nous aident aujourd'hui à mieux comprendre cette période complexe de la Renaissance : je me contenterai de parler de ceux qui m'ont paru les plus significatifs et j'espère pouvoir montrer pourquoi ils le sont, à mon avis.

J'ai une deuxième considération à faire avant d'aborder directement mon sujet. Je crois que, même dans un domaine comme celui de l'activité critique, il est très difficile de fixer des dates, des termes chronologiques ; il est difficile, par exemple, d'isoler cette période d'études littéraires, cette dernière décennie, par rapport aux années précédentes ou de ne pas l'envisager à la lumière de certaines tendances critiques qui existaient déjà avant. Il suffit de penser que la plupart des spécialistes italiens qui s'occupent aujourd'hui de la Renaissance française s'en occupaient déjà avant 1976 et que les travaux qu'ils ont publiés après cette date sont souvent un approfondissement ultérieur de leurs recherches, un corollaire de leur réflexion.

La Renaissance française constitue depuis longtemps un des pôles d'intérêt privilégiés pour la critique italienne pour des raisons qui sont assez connues : la présence, entre autres, de nombreux rapports étroits, complexes, parfois même contradictoires, entre la culture française et la culture italienne de cette époque.

Le thème de ces rapports sera un peu le fil conducteur de mon exposé; exposé dans lequel je serai assez schématique : je présenterai, d'abord, quelques éditions modernes de textes français de la Renaissance, éditions critiques établies par des spécialistes italiens ; ensuite, dans l'ordre : ce qu'on pourrait appeler les études comparées entre certains aspects des deux littératures (littérature française et littérature italienne à la Renaissance) ; ensuite, les études relatives à la nouvelle française de cette époque ; celles qui concernent la poésie ; et, enfin, quelques ouvrages critiques sur Montaigne.

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw